Rome ne s’est pas faite en un jour, aurait dit le cardinal Luca Manzoli. La visiter également, il faut longuement marcher parfois sous un soleil accablant, et s’hydrater auprès des 2000 fontaines qu’elle compterait, des 7 plus célèbres aux plus humbles.
La place Saint-Pierre, vue à partir de la lanterne de la basilique, avec sa colonnade élaborée par l’architecte italien Le Bernin. Au bout de l’avenue à gauche, le château Saint-Ange au bord du Tibre.
La construction de la basilique Saint-Pierre a débuté en 1506, sous la conduite de l’architecte surnommé Bramante.
Sa nef centrale mesure 44 mètres de hauteur.
Le maître-autel et son baldaquin de 29 mètres a été dessiné par Le Bernin. Il est érigé au-dessus de la tombe de Saint-Pierre. Au-dessous, la coupole décorée par Michel-Ange qui s’élève vers le ciel.
Au Vatican, l’escalier à double spirale dessiné par Bramante.
La coupole du Panthéon.
Vue rapprochée, à travers la foule, de la fontaine de Trevi, commencée en 1641 par Le Bernin et achevée en 1735 par Salvi.
L’amphithéâtre Flavien, communément appelé « Colisée », a été construit entre l’an 72 et l’an 80. Il pouvait accueillir 80000 spectateurs. Malgré le gigantisme de son anneau extérieur (187 mètres de longueur pour 50 mètres de hauteur), sa construction intégrait un immense velarium permettant de le recouvrir en cas de mauvais temps, manoeuvré à mains d’hommes, afin que le spectacle continue.
Le Latran était la résidence des papes jusqu’en 1309, date à laquelle ceux-ci partirent s’installer à Avignon. Saint-Jean de Latran est la cathédrale de Rome, remarquable pour ses plafonds et pavements, son maître-autel surmonté d’un baldaquin, sa représentation des apôtres.
L’apôtre Saint-Barthélémy, présentant la dépouille de sa propre peau ainsi que le couteau ayant servi à son supplice.
La pauvreté, à Rome aussi.