Deux jours pour découvrir Lyon. C’est évidemment insuffisant, mais cela permet d’entrapercevoir la vieille ville ; Lugdunum, ancienne capitale des Gaules, est classée au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1998. Des berges de la Saône au pied de la colline de Fourvière, au nouveau Lyon avec sa confluence entre la Saône et le Rhône, c’est une balade photographique (dont une photo clin d’oeil à trouver) qui permet de mêler styles d’architecture Renaissance et moderne avec d’autres regards comme le portrait dans la rue (streetphotography).
Le musée des Confluences, à la jonction des eaux de la Saône et du Rhône, sa présentation de siècles d’Histoire et de cultures, son « Puits de gravité », ses panoramas.
La construction de la cathédrale Saint-Jean, débutée en 1180, a duré plus de trois siècles, ce qui explique ses éléments tant romans que gothiques ; elle a été également désignée « primatiale des Gaules » par le pape Grégoire VII qui a voulu ainsi rendre hommage à la première église chrétienne de Gaule (construite en 160) et à ses martyrs. Son horloge astronomique et ses automates fonctionnent depuis 1379.
Sur le Rhône, le célèbre centre nautique et ses deux piscines.
En passant devant l’Opéra.
Extrait des 24 colonnes du palais de justice, qui accueille la Cour d’Appel et la Cour d’Assises.
Les quais de Saône (rive gauche) et leurs façades colorées.
Un peu d’architecture contemporaine, avant d’aller se reposer.
La basilique richissime Notre-Dame de Fourvière, dédiée en 1896 à la Vierge Marie ; chacune de ses quatre tours symbolisent la prudence, la tempérance, la force et la justice. Sa crypte est dédiée à Saint-Joseph, dont l’autel porte la statue de « Saint-Joseph à l’Enfant » ainsi qu’une mosaïque représentant les sept péchés capitaux ; elle accueille également dix représentations de la Vierge dans le monde chrétien (ici, Notre-Dame d’Afrique à Alger et Notre-Dame de Czestochowa en Pologne).
Et il est déjà temps de donner à la fin son dernier coup de crayon.
