Du Havre à Fécamp

 

 

Labellisée « ville d’art et d’histoire », Le Havre a occupé une position stratégique (maritime, militaire, industrielle) au fil de son histoire. Gravement bombardé en septembre 1944, son centre-ville a fait l’objet d’une reconstruction audacieuse en béton armé par l’architecte Auguste Perret, tant dans son dessin (îlots et axes) que dans ses constructions (immeubles, cours et passages, église Saint-Joseph, hôtel de ville…) ; il est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Portée par sa devise « nutrisco et extinguo » que lui a attribué François 1er (nourrir le bon feu, éteindre le mauvais), la ville-port s’est considérablement développée depuis l’après-guerre en se hissant au rang de 1er port français notamment pour le commerce extérieur et le trafic de conteneurs. Deux trop brefs passages m’ont permis de la découvrir, à ma façon. A commencer par 2021.

 

Bassin du commerce, à l’aube. Sa largeur (100 m) a servi d’étalon aux dimensions des îlots d’habitation du « nouveau Havre » (100 m x 100 m) reconstruits après-guerre.

 

Expressions artistiques dans le cadre du projet « Etant donné un mur ».

 

Ligne de fuite sur les îlots classés monuments historiques.

 

Passage de l’îlot V41 à la place Oscar Niemeyer.

 

Un jour, peut-être.

 

Détail du monument aux morts, place du Général de Gaulle, avec en arrière-plan un petit aperçu de la façade d’un des immeubles conçus par Auguste Perret.

 

Clocher de l’église Saint-Joseph, patron des charpentiers de marine, véritable amer en baie de Seine comme Auguste Perret l’a souhaité. C’est le premier point culminant (107 m) de la ville.

 

Eglise Saint-Joseph, conçue et construite par Auguste Perret ; son chevet au lever du jour.

 

Sur le bord de la Seine, devant les « immeubles Perret » au petit matin, la Catène de Containers, oeuvre de Vincent Ganivet célébrant le 500ème anniversaire du port. C’est en 1517 que le « lieu de Grâce » est décrété havre d’échouage par François 1er. Il  deviendra un port militaire en 1536 avant de devenir un port de commerce en 1820.

 

Vue rapprochée de la Catène. L’assemblage de containers est une référence à l’activité portuaire de la ville.

 

A l’époque de la reconstruction, rien n’était omis dans les lieux publics.

 

Longue perspective sur la tour-building de l’hôtel de ville, conçu par Auguste Perret, second point culminant de la ville (72 m).

 

Le Grand Volcan, conçu par l’architecte Oscar Niemeyer en 1982, dont les voiles élancées de béton contrastent avec les droites environnantes.

 

La médiathèque Oscar Niemeyer, en dessous du Petit Volcan.

 

Quand les cheveux blancs en pincent pour le rouge et le noir.

 

LH, comme ses habitants la surnomment, vue à partir du « Bout du monde ».

 

Sur les docks reconfigurés, le « Carré des docks », centre de congrès et de spectacles.

 

A trottinette sur les docks réaménagés, une des liaisons douces est-ouest.

 

L’extrémité du bassin Vauban, en direction du sémaphore portant l’inscription « Le Havre port de l’Europe ».

 

Avoir les yeux partout.

 

Bateau-feu « Le Havre III » – construit en 1935, aujourd’hui classé monument historique et propriété de l’Association du Musée Maritime et Portuaire du Havre, laquelle s’efforce de le restaurer ; jusqu’en 1981, il servait de phare de signalisation de l’entrée du chenal de la Seine. Il est aujourd’hui amarré face à l’Ecole Nationale Supérieure Maritime (à gauche sur la photo).

 

La timonerie.

 

Le groupe des 4 sirènes de brume.

 

La salle des machines et ses moteurs diesel.

 

Les générateurs électriques alimentant notamment le phare, la motorisation des quatre ancres, les sirènes de brume, le radio-phare, l’émetteur de sons sous-marins, l’émetteur-récepteur radio et la station météorologique.

 

Les vannes de refoulement. La vanne qui fâcherait aujourd’hui est condamnée.

 

Ce qui reste du carré des officiers.

 

Ces deux immeubles en vis-à-vis constituent la « Porte océane », point de passage entre la ville et l’océan voulu par Auguste Perret.

 

Nouveau mode de stabilisation pour appareil photo.

 

« UP#3″, œuvre de Sabina Lang et Daniel Baumann érigée en 2017, cadrant d’un côté l’océan et de l’autre la « Porte océane » selon l’endroit où l’on se place.

 

Moment de détente sur la plage en fin de journée.

 

Petit aperçu des 700 cabanes de plage le long du front de mer.

 

Les havrais se retrouvent pour contempler le coucher de soleil sur le front de mer.

 

Un balais incessant en baie de Seine, en liaison avec Le Havre et Rouen, dans lequel les nageurs et les sports nautiques côtoient les navires.

 

Signalisation maritime en sortie de chenal vers la mer : le rouge est bel et bien à tribord.

 

Eglise Saint-Joseph : le choeur, l’autel et le baldaquin.

 

L’orgue ; l’escalier latéral, à sa droite, se poursuit à l’extérieur du bloc de base de l’église pour rejoindre la base de la tour-lanterne.

 

L’intérieur de la tour-lanterne, avec l’escalier circulaire d’accès au clocher (ici à 84 m).

 

Au-dessus du portail principal, la représentation de la crucifixion.

 

Les 6500 vitraux de Marguerite-Félicité Huré passent du rouge au blanc en s’élevant vers le ciel.

 

 

 

Petite balade en 2020 le long de la côte d’Albâtre et ses falaises de craie, au fil du GR21 entre Le Havre et Fécamp.

 

Premières loges sur la plage du Havre.

 

Contre-plongée au Havre sous la Catène de Conteneurs de Vincent Ganivet.

 

Coup de zoom sur les incrustations des immeubles d’Auguste Perret au Havre.

 

La plage d’Antifer, à touche-touche avec le terminal pétrolier du port du Havre.

 

Les alignements de Paluel, au bord des falaises de craie d’Etretat que la mer rogne petit à petit.

 

Du lin, lors de son rouissage, spécialité traditionnelle de Haute-Normandie.

 

Version minimaliste du plateau continental de la Manche en Haute-Normandie.

 

Une virgule dans une drôle de lumière.

 

La carte postale d’Etretat.

 

Une façon d’embrasser un panorama.

 

Code de couleurs.

 

L’air marin sous un chapeau.

 

Traits de crayon pour trait de côte.

 

Quand une falaise montre les dents.

 

Courage fuyons.

 

Rayures.

 

L’heure rose sur la côte d’Albâtre en direction de Fécamp.

 

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